Investissement locatif neuf
Où et dans quel logement investir dans du locatif neuf ?
Grâce à une étude récente, un palmarès des villes dans lesquelles investir a été établi. Ce dernier, basé sur des critères tels que la démographie, l’emploi, le prix des logements et les loyers, a mis en avant, dans l’ordre, les villes de Nantes, Toulouse, Bordeaux, Lyon, Villeurbanne, Montpellier, Paris, Strasbourg, Clermont-Ferrand et Nîmes.
Concernant le type de logement à sélectionner, il s’avère que le neuf possède de sérieux atouts comme les performances énergétiques, la sécurité (interphones…) et des plans optimisant l’espace. Des avantages qui, en outre, vous permettront de proposer à la location des logements “prêts à vivre”.
L’intérêt du crédit et des dispositifs en place pour le locatif neuf
Parmi les avantages financiers du locatif en général, et du neuf en particulier, le nouveau dispositif Pinel se veut moins contraignant que la précédente loi Duflot pour les investisseurs, comme il a déjà été relaté dans un article précédent. C’est donc un atout important de défiscalisation. Avec les taux de crédit en vigueur, vous pouvez chercher la meilleure formule et le meilleur organisme de crédit qui vous proposera, entre prêt amortissable et crédit in fine, des offres à votre mesure. A vous de faire vos calculs et de prendre tous les paramètres en compte ; dont celui, notamment, de la déduction des intérêts sur les loyers déclarés, en version LMNP pour résidence services (Location en Meublé Non Professionnel) ou avec le dispositif Censi-Bouvard.
Les rendements et plus-values d’un investissement locatif neuf
Il faut savoir qu’actuellement l'investissement dans les logements neufs peut rapporter, en moyenne, entre 2.8% à 3.8%, sans prendre en compte les avantages fiscaux qui pourraient s’y ajouter.
Le rendement en locatif plus capital est de 21% par an, ce qui le place devant l’or (16%) et le CAC40 (7.8%). Le secteur choisi pour cet investissement aura un rôle déterminant dans votre plus-value, dont l’imposition a été ramenée de 30 à 22 ans, avec paliers.
Ces articles pourraient aussi vous intéresser
-
La liquidation d’une SCI passe par des étapes clés incontournables : dissolution, liquidation et radiation. Chacune nécessite une attention particulière pour respecter les procédures légales. Il faudra respecter les obligations fiscales et patrimoniales, comme les déclarations dans les délais. Vous éviterez ainsi des pénalités ou des contentieux entre associés. Cette démarche, souvent complexe, peut être optimisée en s’entourant de professionnels comme des experts-comptables ou notaires.
Lire l'article -
Dans une SCI sans recettes locatives, vous devez respecter les obligations fiscales et administratives pour éviter les sanctions et les litiges potentiels. Vous devez aussi prendre soin de bien remplir les déclarations des impôts et de maintenir une comptabilité adaptée pour éviter tout redressement de l'imposition. Le non-respect de ces formalités peut entraîner des amendes, des redressements fiscaux, ainsi que des risques de révision de l'administration par les associés.
Lire l'article -
L’indivision est pratique pour des projets immobiliers simples et de courte durée, mais montre rapidement ses limites face à des situations plus complexes. La SCI par contre offre une solution structurée et flexible pour des projets à long terme, comme ceux qui impliquent des revenus locatifs ou des enjeux de transmission patrimoniale. Pour choisir la structure la mieux adaptée à vos objectifs, il est recommandé de solliciter l’accompagnement d’un notaire ou d’un expert juridique.
Lire l'article
Faites le premier pas en prenant RDV.
Notre équipe gère tout le reste.
Prenez rendez-vous avec un de nos conseillers par téléphone, ou dans un de nos bureaux à Paris, Lyon ou Lille.